La Rédaction
Démocratie Participative
30 avril 2025
Il fut un temps où les juives comme Manon « Aubry » Chicheportiche se rendaient en Pologne contraintes et forcées.
Nous allons devoir y revenir.
🟣 En route avec @MathildePanot vers Varsovie depuis Berlin avec dans notre coffre des centaines de pilules abortives qui permettront à des polonaises d’avorter.
Alors que l’extrême-droite s’attaque à nos droits et la Pologne interdit l’avortement, nous organisons la riposte &… pic.twitter.com/iPnXWC6i9J
— Manon Aubry (@ManonAubryFr) April 29, 2025
BFMTV :
En Pologne, l’aide à l’avortement est passible d’une peine de prison, mais aucune loi ne sanctionne les femmes qui pratiquent leur propre avortement avec des pilules commandées en ligne.
Les élues insoumises Mathilde Panot et Manon Aubry ont apporté ce mardi 29 avril en Pologne des pilules abortives et du lendemain pour soutenir des militants de ce pays catholique dont les lois sur l’interruption de grossesse sont parmi les plus strictes d’Europe.
Dans le détail, les deux représentantes de LFI ont remis environ 300 pilules à des militants à Varsovie, tout en promettant d’en envoyer d’autres à l’avenir.
Les truies qui pleurent sur un clandestin du Mali suriné par un manouche dans une mosquée sont les mêmes qui sont aux anges à l’idée de tuer des bébés blancs à 2000 kilomètres.
Ces photos illustrent parfaitement la nature démoniaque des femmes lorsque les hommes ne les tiennent pas fermement en laisse.
Encore faut-il que les hommes soient à la hauteur de leur fonction.
La Pologne interdit presque totalement l’avortement. L’aide à l’avortement y est passible d’une peine de prison, mais aucune loi ne sanctionne les femmes qui pratiquent leur propre avortement avec des pilules commandées en ligne.
« Nous apportons quelque chose pour aider les femmes qui veulent interrompre leur grossesse parce que, quelle que soit la situation, le corps des femmes n’appartient ni à l’État ni à l’Église, mais aux femmes et à elles seules », a déclaré Mathilde Panot, cheffe des députés LFI.
« Nous continuerons à envoyer des pilules », a-t-elle expliqué à l’AFP en visitant le premier centre d’avortement de Pologne, situé juste en face du parlement.
L’association Abortion Dream Team a créé ce centre le mois dernier afin de faire pression sur les législateurs et d’offrir un espace où les femmes qui envisagent d’interrompre leur grossesse peuvent obtenir de l’aide pour le faire.
Pour la militante Justyna Wydrzynska, la visite française représente « un soutien que nous n’avons pas de la part des hommes politiques en Pologne ».
Selon les chiffres officiels, un peu moins de 900 avortements ont été pratiqués à l’hôpital l’année dernière dans ce pays de 38 millions d’habitants. Mais des dizaines de milliers de femmes mettent fin à leur grossesse chaque année à domicile – en utilisant des pilules – ou à l’étranger, selon les associations de défense des droits de la femme.
Il y a plusieurs décennies, « lorsque l’avortement n’était pas légal en France, les femmes françaises venaient en Pologne pour avorter« , a rappelé Manon Aubry, chef de file des députés de la LFI au Parlement européen. « Aujourd’hui, nous apportons notre solidarité dans l’autre sens », a-t-elle dit à l’AFP.
Mais pourquoi les femmes françaises se rendaient en Pologne « il n’y a plusieurs décennies » pour tuer leurs enfants ?
Manon « Aubry » Chicheportiche n’a pas jugé utile de le préciser.
C’était du temps où la moitié de l’Europe était sous la coupe des marxistes, l’URSS étant le premier état du monde à avoir légalisé l’avortement, le 18 novembre 1920.
Vous savez, ces fameux Soviétiques qui nous ont « libérés des Nazis ».
En France, il fallut attendre la juive Veil pour que cette légalisation soit promulguée le 17 janvier 1975 – cadeau de la droite démocratique.
L’Allemagne nationale-socialiste avait compris dès l’origine la menace existentielle que représentait l’avortement, prolongement du féminisme, lui-même sous-produit du marxisme culturel.
Une fois la révolution nationale-socialiste victorieuse en Allemagne, le Reich mena une vaste politique vitaliste embrassant tous les aspects de la vie allemande.
Sous Weimar, l’Allemagne démocratique était un vaste cimetière. Avant le 30 janvier 1933, pas moins d’un million d’avortements étaient pratiqués en Allemagne.
Il y avait toutefois quelques excuses dont nos traînées ne peuvent se prévaloir : la misère et le chômage de masse, une Allemagne saignée à blanc par la finance juive, une effroyable culture dominante d’essence marxiste.
Ce chiffre fut ramené à 200,000 en 1938 après seulement cinq années de gouvernance nationale-socialiste. C’était encore trop, mais sans la guerre provoquée par les juifs, les avortements auraient été proches de zéro dans la Nouvelle Allemagne.
L’Office central du Reich pour la lutte contre l’homosexualité et l’avortement (Reichszentrale zur Bekämpfung der Homosexualität und der Abtreibung), fut créé en 1936 par décret de Heinrich Himmler, Reichsführer SS. Il avait pour mission de collecter des données sur les homosexuels et les femmes pratiquant des avortements, d’en coordonner la répression et de renforcer les politiques natalistes du Troisième Reich.
L’association de l’homosexualité et de l’avortement dans un même département au sein du ministère de l’Intérieur démontre la grande sagesse du gouvernement national-socialiste : les deux phénomènes étaient l’expression d’une déviance sexuelle stérile représentant une menace pour la santé du peuple et sa perpétuation.
Le directeur de l’Office central du Reich pour la lutte contre l’homosexualité et l’avortement était l’officier SS Josef Meisinger, auteur en 1940 d’un document stratégique intitulé « Die Bekämpfung der Abtreibung als politische Aufgabe » (« La lutte contre l’avortement comme tâche politique »). Meisinger y présente l’avortement non pas comme une question morale ou de liberté individuelle, mais comme un problème de santé publique et politique majeur, relevant exclusivement de l’État, donc de la souveraineté nationale, un acte de sabotage contre la croissance démographique et la survie raciale de l’Allemagne.
Les mesures prises par le ministère de l’Intérieur, et par la Gestapo dont dépendait l’Office central, étaient particulièrement efficaces.
L’Office central utilisait des escouades mobiles pour collecter des informations et procéder à des arrestations d’individus participant de ce sabotage biologique. Les peines pour avortement incluaient l’emprisonnement, les travaux forcés, voire la peine de mort dans les cas graves. Les médecins et sages-femmes pratiquant des avortements étaient particulièrement ciblés.
Les combattants de la Gestapo de Vienne, formation révolutionnaire chargée de sauver le peuple allemand du poison juif international
La répression n’était pas la seule approche, loin s’en faut. Si les comportements déviants étaient impitoyablement réprimés, les comportements vertueux étaient glorifiés socialement.
La Croix d’honneur de la mère allemande récompensait par exemple les femmes qui menaient la guerre raciale à leur échelle : en bronze pour 4 à 5 enfants vivants, en argent pour 6 à 7 enfants, en or pour 8 enfants ou plus.
Les mères devaient être de « sang allemand » (excluant juives, roms, etc.), avoir une bonne moralité, et leurs enfants devaient être en bonne santé (excluant les handicaps ou « défauts héréditaires »).
Les femmes décorées de la croix d’honneur des mères recevaient des privilèges matériels, comme des réductions dans les transports publics et un accès prioritaire à certains services, créant une dynamique verticale favorable pour la lutte démographique.
Elles recevaient également une reconnaissance publique lors de cérémonies, notamment le Jour des Mères, célébré chaque année. Plus important pour les femmes, les mères décorées étaient saluées par le salut national-socialiste dans les espaces publics, à l’instar des soldats décorés, renforçant leur statut symbolique dans la société.
Dans une société démilitarisée, cela n’a pas d’importance, mais dans une société martiale, la femme s’élève par ses vertus maternelles en tant que mère des guerriers à venir, comme à Sparte.
Plutarque, dans sa Vie de Lycurgue, écrit :
Lycurgue considérait que l’éducation des enfants était la tâche la plus importante et la plus noble des femmes. Il ordonna que les femmes s’exercent physiquement, par la course, la lutte et le lancer, afin qu’elles soient robustes et donnent naissance à des enfants vigoureux. […] Les mères spartiates, loin d’être oisives, étaient chargées de transmettre aux enfants les valeurs de courage et d’honneur.
Quel contraste saisissant avec cette époque féministe, pacifiste, démocratique, dégénérée — juive pour tout dire — et comme la crasseuse juive Chicheportiche la représente parfaitement.
Il n’y a pas de fatalité, nécessité fait loi.
Dans cette lutte pour la survie où la seule véritable loi est la loi du sang, les états dégénérés démocratiques, avec leur politique de dénatalité active d’une part et de submersion migratoire d’autre part, n’ont aucune chance de subsister.
Qu’importe ce que peut bien devenir cet « État français » d’essence juive ?
Plus tôt il disparaîtra, mieux ce sera, à condition de lutter pour une alternative révolutionnaire.
Le rôle des révolutionnaires blancs, précisément, n’est pas seulement d’attendre la chute inévitable de cet état, mais de la précipiter en oeuvrant à sa désarticulation, et d’abord en promouvant l’idée raciste, en exposant la vision d’un état ethno-nationaliste sur tout ou partie du territoire français actuel. Ce qui importe ici, ce n’est pas le contenant, mais le contenu, non pas la géographie physique, mais la géographie humaine.
C’est pourquoi, si vous comprenez l’idée bourguignonne en gestation, vous devriez dès à présent vous inscrire dans la démarche que nous défendons et prendre votre destin en mains. Si cette idée vous parle, n’hésitez pas à nous écrire.