La Rédaction
Démocratie Participative
01 mai 2025
Le service d’ordre du RN n’a pas reçu les instructions relatives au traitement du peuple élu.
On se croirait au Vel d’Hiv’ !
«Vous n’êtes pas le bouclier des juifs ».
Nous sommes venus au meeting de @MLP_officiel et @J_Bardella le dire haut et fort.
De la même façon que @FranceInsoumise instrumentalise le racisme à des fins électorales, le RN instrumentalise l’antisémitisme et manipule la… pic.twitter.com/oBLqUxNJjf
— Collectif Nous Vivrons #🟦 (@nous_vivrons) May 1, 2025
« Vous n’êtes pas le bouclier des juifs ! »
Des militantes du collectif @nous_vivrons interrompent Marine Le Pen en meeting à Narbonne. Elles sont évacuées sans ménagement par le service d’ordre du RN. (Plan-séquence. #bonjourtf1 #tf1info) pic.twitter.com/EkOBmHWVlH— Paul Larrouturou (@PaulLarrouturou) May 1, 2025
🇫🇷 FLASH – « Vous n’êtes pas le bouclier des Juifs », scandent des femmes lors du meeting de Marine Le Pen à Narbonne, avant d’être évacuées. (via @AlisonTassin) pic.twitter.com/2DbhoGfvor
— AlertesInfos (@AlertesInfos) May 1, 2025
De retour de Tel Aviv, Marion Auque a eu le droit au même message : « Shiksa, t’es pas ici chez toi ! »
Vous n’êtes pas le bouclier des Juifs @MarionMarechal ! Les Juifs ne seront pas le marche-pied de l’extrême droite raciste et antisémite. Ni facho ni facho. Ni division, ni exclusion. Personne n’est dupe. Lâchez nous !
En direct de Domremy-la-Pucelle. pic.twitter.com/qwSnH0Ut0K
— Collectif Nous Vivrons #🟦 (@nous_vivrons) May 1, 2025
Ces juifs estiment visiblement que Marine Le Pen n’a pas encore donné assez de gages de soumission.
Vigilants, ils distribuent les bons et les mauvais points.
Hier, sur Radio Shalom, la présidente de cette organisation régionaliste, Sarah Aizenman, félicitait Bruno Retailleau-Begin pour son empressement à aller au devant des exigences du Kahal.
🗣️ « Ce collectif a attaqué les femmes juives lors de la grève féministe du 8 mars »
Sarah Aizenman, présidente du collectif @nous_vivrons, réagit à la volonté de Bruno Retailleau de dissoudre le collectif Urgence Palestine pic.twitter.com/wP9eXYifxU
— Radio Shalom (@radioshalom94_8) April 30, 2025
Je relève que cela se produit à Narbonne, à la frontière entre l’Europe et le Levant.
Cette cité est depuis des temps immémoriaux un bastion de la juiverie.
La colonisation juive à Narbonne est documentée dès le Ve siècle, confirmée par des lettres écrites en 470 et 473. La plus ancienne inscription juive en France, datée de 689, est une stèle funéraire découverte sur place, dédiée aux trois enfants d’un juif dénommé Paragorus (Justus, Matrona, Dulciorella), ornée d’un chandelier à sept branches et portant l’inscription hébraïque « Paix sur Israël ».
Cette période correspond à une installation progressive des Juifs dans la Gaule méridionale, favorisée par les anciennes routes commerciales romaines.
Et justement, les juifs commerçaient, surtout de la marchandise humaine. Ils étaient devenus les intermédiaires stratégiques entre les monarques francs et les Musulmans d’Espagne, les Francs chrétiens opérant des raids en profondeur dans le monde slave demeuré polythéiste pour y capturer hommes, femmes et enfants, blonds de préférence, qu’ils livraient ensuite aux juifs de la place de Verdun, gigantesque plaque tournante de cette traite internationale.
Selon l’historien arabe Ibrahim al-Qarawi :
« Les Francs sont voisins des Slaves. Ils font ceux-ci prisonniers à la guerre et les vendent en Espagne où il en arrive beaucoup. Ils sont châtrés. Ces castrats sont exportés d’Espagne dans tous les autres pays du monde musulman »
À Verdun, les bouchers juifs y castraient à échelle industrielle les victimes — condition stricte de tout commerce avec les mahométans. Le nombre des prisonniers qui mourraient suite à ces castrations à vif était énorme, contraignant à toujours plus de raids à l’Est. De Verdun, les victimes blanches étaient ensuite acheminées à Narbonne après avoir transité par Lyon et Arles où de solides communautés juives veillaient au transfert.
Une légende, rapportée par Abraham ben Daoud en 1161, suggère que Charlemagne aurait demandé au calife de Bagdad un juif de la lignée de David, Rabbi Makhir, pour diriger la communauté de Narbonne après sa conquête en 759. À charge pour le rabbi de veiller à ce que le flux d’esclaves blancs soit maintenu en dépit des tensions territoriales entre Musulmans et Chrétiens.
Les esclaves originaires des régions slaves partaient vers Al Andalous, l’Égypte ou le Khurâsân, générant des profits importants (« immensum lucrum », selon Liutprand de Crémone).
Les marchands juifs, étaient parfois identifiés comme des Radhanites (un groupe de commerçants juifs opérant entre l’Europe et l’Asie, mentionnés par Ibn Khurdadhbeh vers 846-885). Encouragés par une telle coopération, les juifs, dont la voracité ne se fait jamais désirer très longtemps, entendaient accroître sans cesse le flot des Blancs à acheminer vers les immensités désertiques de l’Orient, parfois bien au delà de l’Irak actuel. C’est justement cette voracité qui entraîna des frictions avec Agobard, évêque de Lyon.
Les juifs, prêts à tout pour répondre à une demande qui semblait illimitée, se laissèrent aller au fil des ans à kidnapper discrètement quelques sujets locaux, privant ainsi le clergé catholique de contribuables. Agobard adressa vers 822 une lettre à Louis le Pieux, successeur de Charlemagne, dans laquelle il se plaint des marchands juifs, accusés d’enlever des chrétiens de sa juridiction pour les vendre comme esclaves à des musulmans, notamment d’Espagne. Il cite le cas d’un homme enlevé à Lyon vingt ans plus tôt et vendu à Cordoue, ainsi qu’un autre cas à Arles. Pour dénoncer avec plus de force cette concurrence déloyale, il souligne également les « actions infâmes » commises par les juifs sur les chrétiennes qu’ils réduisent en esclavage — le proxénétisme étant un usage aussi vieux que l’esclavagisme dans le monde juif.
Les agissements intolérables des juifs contribuèrent à la formation d’un très sérieux courant antijuif dans le royaume, un phénomène que ne tirait que des grimaces aux papes. Ceux-ci commerçaient assidûment avec la Synagogue à l’échelle de l’Europe entière, appelant les bandits chrétiens à mener des opérations de terreur contre l’Europe échappant encore au culte du Nazaréen pour alimenter cette gigantesque traite avec le monde islamique.
Le pape Grégoire le Grand n’aimait pas que l’on chatouille les esclavagistes juifs
À cette époque, les masses, encagées dans les prêches des évêques, ne comprenaient pas la question juive et s’échauffaient les esprits à propos de leurs rites religieux insolites, convaincues que c’était l’origine de toutes les incompréhensions. Ces pauvres gens, déboussolés par la démagogie des papistes, croyaient qu’un baptême pouvait dissuader Moshe et ses frères de se livrer à leurs déprédations usuelles. Les piètres résultats de ces tentatives ne faisaient qu’exaspérer davantage les foules et se terminaient invariablement en pogroms. C’était la seule chose qui pouvait tirer les papes de leur indifférence, excédés par les pertes commerciales générées. À Arles et Marseille, il fallut l’intervention du pape Grégoire le Grand pour que la plèbe finisse par se calmer et accepte de subir les juifs et leur trafic, menacée de damnation éternelle et de répression sauvage en cas de militantisme antisémite.
La concorde judéo-chrétienne était bénie par le Saint Esprit, assurait la Papauté, et il était dans les plans de Dieu que les Blancs réduits en esclavage continuassent d’être livrés aux bordels des potentats islamiques, particulièrement gourmands de jeunes femmes aux traits nordiques.
Deo Gratias !
Ainsi protégés par l’Église, les juifs établirent à Narbonne une véritable principauté rabbinique, échappant à tout contrôle extérieur. Sa population indigène vivait dans une terreur d’essence hébraïque, comme les Palestiniens d’Hébron. La famille des Nassi (princes), prétendant descendre du roi David, dirigeait l’école talmudique de Narbonne du XIe au XIVe siècle, combinant autorité spirituelle et patrimoine foncier. À partir du XIIe siècle, la communauté juive de Narbonne prospèra, renforcée par l’arrivée de juifs venus d’Espagne. La population juive augmentait, atteignant environ 825 personnes officiellement recensées juste avant l’expulsion de 1306, soit près de 4 % de la population totale de la ville. La ville était alors un centre rabbinique international, avec des figures comme Kalonymos ben Toderos, dirigeant de la communauté, et David Kimchi, auteur du Sefer Hashorashim. Les timides mesures du Concile de Latran (1215) pour juguler la fureur juive qui traversait l’Europe n’eurent aucune traduction concrète à Narbonne, la ville opérant comme un état indépendant, à l’instar des Îles Caïmans d’aujourd’hui, coiffé par une théocratie talmudique.
Tout aurait pu durer éternellement ainsi si un roi fasciste, Philippe le Bel, enfin soucieux de ses sujets et particulièrement contrarié par les taux prohibitifs pratiqués par les usuriers juifs, n’avait pas tapé du poing sur la table et entreprit de chasser les juifs de France.
On ne s’étonnera pas du fait que pour suturer une telle plaie, Philippe dut d’abord secouer un pape, jusqu’à ce qu’il en trépasse, et s’assurer que le fléau ne revienne pas par la fenêtre en incinérant la franc-maçonnerie (« les templiers ») qui n’aurait pas manqué de prêter concours à la juiverie revancharde.